.Histoire.

L'Île de Pahili est connue grace à son immense montagne et l'eau très pure qu'elle procure. L'humidité ne tarda pas a creusé des grottes, des grottes emplient de pierres précieuses qu'on ne trouve que dans les grotte de cette montagne, tantôt le Mont Pathara pour les hommes, tantôt Iku pour les loups.




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› Chapitre I
• La venue des hommes.

L'Île de Pahili n'a jamais vu d'hommes, ni elle, ni ceux qui y habitent. C'est pour cela que quand les hommes posèrent leurs bottes sur le sable de la plage sans vagues, les loups furent très intrigués. Quels étaient ces étranges êtres qui venait sur leurs terres ? Ils restèrent là une semaine, ou peut être deux, mais quand ils repartirent, les loups étaient lavés de toute crainte. Pourtant, quand ils revinrent encore plus nombreux, avec leur machines jaunes aux pelles gigantesques, les loups, démunis, ne voyait que comme solution de se cacher. Les hommes semblaient plutôt inquiets, eux aussi, quand ils vurent se jeter sur eux un cerf de si grande taille, mais ils étaient armés de fusils, et le tonerre qui résonnait à travers l'île faisait froid dans le dos. Les loups n'osaient pas s'en approcher, et pour le moment, il ne leur était d'aucun soucis, au contraire; les bêtes qu'ils tuaient faisait un éffort de moins pour les chasseurs. Mais c'est quand ils commencèrent à raser leur forêt que leur présence commençait à les agacer. Ils coupaient les arbres comme si c'était de vulgaires brindilles, les loups les observaient, impuissants. C'est la meute de l'Ouest qui commença à les attaquer, mais aucun des guerriers ne revint, et les bruits de leurs fusils résonnaient de plus belle. Les hommes étaient sur leur gardes, ils ne savaient pas qu'il y aurait des loups si grands, et les hommes aux fusils débarquaient en masse. Mais passé la forêt dense qui entourait Iku, les hommes commençaient à creuser la montagne, avec des machines plus robustes, plus dangereuses. Les loups enrageaient: la forêt était une chose, mais Iku en est une autre. Les loups attaquaient au nombre de petits groupes de quatre ou cinq, en vain. Les hommes regroupaient les cadavres de leurs camarades, leurs frères, leurs soeurs, dans de simples camions, et les jetaient comme de vulgaires sacs de pierres. Les loups rageaient de plus belle, d'autant plus que les hommes polluaient leur île de leurs déchets, de leurs fumées engendrées par leur machines dégoûtante.